Les bambous  sont caractérisés par des tiges formées

d'un chaume creux lignifié à la croissance très rapide...

ils croîent de six à dix mètres l'an et referont des pousses même après avoir été coupés...

Il ne détruisent pas le terrain sur lequel ils sont cultivés.

Ils ont cependant tendance à pourrir s'ils sont exposés à l'eau, et prennent feu facilement  mais avec des techniques plus modernes de traitement, ils se révèlent être un matériau doté d'une grande solidité, longévité et capables de résister à un tremblement de terre...

ils sont aussi facilement transportables et très bon marché (dans la plupart des pays d'Asie, le bambou est perçu comme le bois du pauvre)

De plus, ce matériau est idéal pour le respect de l'environnement :

difficile de faire plus écologique !

Barong est une créature mythologique balinaise ressemblant à un lion. Il est le Banaspati rajah (seigneur de la forêt), chef des forces du bien et ennemi de Rangda, la reine démon, chef d'une armée de sorcières. La bataille entre Barong et Rangda représente la lutte éternelle du bien et du mal et est figurée par la danse du Barong.

La danse théâtrale du Barong se déroule en plusieurs actes...

 La danse commence avec un prélude qui n'a, en fait, aucun rapport avec l'histoire. 

La première scène montre deux serviteurs de la reine qui discutent du malheur de leur maître bien-aimé, le prince Sahadewa, qui sera sacrifié ce jour. L'apparition d'une sorcière, l'une des disciples de Batari Durga, augmente à leur anxiété. Ils envoient vite chercher le Premier Ministre.

Dans la scène II, le Premier Ministre est suivi de peu par la reine, la mère de Sahadewa. Celle-ci est bouleversée de tenir sa promesse de sacrifier son fils. La sorcière, craignant que celle-ci ne change d'avis, la touche de son sceptre magique. Instantanément, la tristesse de la reine se transforme en colère. Furieuse, elle bat Sahadewa et ordonne au Premier Ministre de l'emmener au cimetière, où réside la déesse de la mort.

Dans la scène III, le Premier Ministre qui aime Sahadewa comme son fils, refuse d'obéir. La sorcière le touche alors et celui-ci se met à son tour en colère. Il traîne Sahadewa au cimetière et l'attache à un arbre, devant le temple de la mort.

Le dieu Siwa apparaît dans le scène IV, sous la forme d'un prêtre. Il prend pitié de Sahadewa et le rend immortel.

Les cours ont lieu du lundi au samedi tous les matins...

les enfants arrivent vers 7h00 à l’école,

ils se retrouvent tous à 7h15 pour prier...

 à 7h30, ils rentrent dans les classes

pour faire le nettoyage avec leurs enseignants,

environ 10 mn tous les jours.

L’école se termine à 12H40,

les enfants ont deux pauses de 15 mn à 9h15 et à 10H50.

Trois après–midi par semaine de 13h00 à 14h30

les élèves reviennent en plus petit groupe...

les écoliers avant de quitter la classe se mettent en rang,

saluent la maîtresse ou le maître

d'un signe de tête avec les mains jointes...

Voici quelques expressions de bahasa indonesia.

oui : ya

non : tidak

merci : terima kasih

je vous en prie : kembali

bonjour (jusqu'à 11h) : selamat pagi

bonsoir : selamat malam

comment allez-vous ? : apa kabar ?

je m'appelle... : nama saya...

je viens de...: saya dari...

je suis marié(e) : saya sudah kawin

je ne suis pas encore marié(e) : saya belum kawin

toilettes: kamar kecil/WC (prononcer « way say »)

combien coûte ceci ? : berapa harga ?

je suis malade : saya sakit

docteur : dokter

dentiste : dokter gigi

hôpital : rumah sakit

Sachez que le pluriel en indonésien se forme en redoublant le mot.

Exemple : orang, "un homme", orang orang, "des hommes".

Avant de sculpter, l’artiste doit trouver le meilleur jour défini dans le calendrier balinais et avoir choisi le type de bois pour tel ou tel type de sujet. Parfois, il demande la bénédiction du prêtre.

en chargeant et transportant

le bambou

et joindre l'utile à l'agréable !